Intervention : Daniel BURSAUX, Directeur général, DIRECTION GENERALE DES INFRASTRUCTURES, DES TRANSPORTS ET DE LA MER

La mobilité n’est qu’un moyen au service de besoins à satisfaire : accès à l’emploi, à l’éducation, aux commerces mais aussi aux loisirs. La métropole se construit sans nécessairement parvenir
à rassembler en un même lieu tous les pôles pour diminuer les besoins de déplacement. Cet objectif est plus difficile à atteindre dans les secteurs périurbains où l’usage individuel de la voiture est bien souvent le mode de déplacement le plus efficace, en tout cas du point de vue des usagers.

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• Comment répondre au défi de la mobilité et mobiliser tous les modes et toutes les infrastructures ?
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• Quels choix opérer pour maintenir le développement de ces territoires où se construisent la ville de demain et l’attractivité globale de la métropole ?
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Les  périmètres pour l’attribution des compétences logement, emploi et transport ne coïncident que rarement. Dans ce contexte, la gouvernance est un enjeu essentiel pour permettre l’organisation d’une mobilité durable au service des usagers de tous les territoires.

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• Une autorité unifiée serait-elle une meilleure solution ?
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• Comment coordonner la concertation entre les acteurs ?
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• Comment optimiser le fonctionnement des infrastructures et des services associés ?
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Dans les secteurs périurbains, la réponse aux besoins de mobilité est plurielle dans ses modes.
La réussite de l’interconnexion des réseaux est essentielle pour les opérateurs, tout dysfonctionnement pénalisant directement les usagers.

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• Comment travailler sur les nœuds du réseau pour en augmenter l’attractivité ?
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• Comment optimiser l’usage des infrastructures existantes ou à venir ?
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Les ressources et les moyens d’action publics sont de plus en plus contraints. L’appel aux capacités financières et techniques du secteur privé reste possible pour moderniser et développer les infrastructures. Asseoir le paiement sur l’usage semble à la fois socialement juste mais aussi
économiquement efficace.

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• Comment mettre en place une tarification qui permet d’optimiser le financement et
  l’usage des infrastructures ?
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• Quelles  innovations sont encore possibles ?
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• Comment les mettre en œuvre ? 
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• In fine qui de l’usager ou du contribuable devra payer ?
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